Le foin, c’est de l’herbe séchée, la base de l’alimentation des vaches quand la neige remplace les fleurs. Sans cette réserve de nourriture, impossible de passer l’hiver. Alors pour faire du foin, on fauche, on retourne, on andaine, on presse, on bottelle, on emballe tout au long de la belle saison. Pour les agriculteurs, une saison des foins ratée et c’est leur exploitation qui est mise en péril. Aujourd’hui, la mécanisation et l’industrialisation des pratiques agricoles ont bouleversé les biotopes fragiles des prairies et ont ôté un peu de charme à cette période, mais il est une chose qui n’a pas changé : les paysages doucement métamorphosés par les traits d’andains...
Attention, une déclaration auprès de la SACEM doit être faite pour toute projection du film (publique ou non publique).
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A Fougères, la laiterie Nazart s'est développée pendant 50 ans dans un îlot de verdure. C'était une entreprise familiale où la qualité des relations humaines primait sur l'intérêt personnel des patrons. Un modèle malheureusement condamné à disparaître. Sa liquidation judiciaire a été prononcée en 2005.
Bien des années se sont écoulées et pourtant, chaque mercredi, d'anciens salariés de la laiterie continuent à se retrouver pour entretenir le jardin potager qui alimentait la cantine de l'établissement. Ensemble, ils recomposent le récit de la disparition de leur entreprise, précipitée par des intérêts financiers occultes.
Le regard de Jean-Luc Cesco, auteur-réalisateur :
« Les patrons et les anciens employés de la laiterie Nazart, qui a déposé le bilan en 2005, se retrouvent depuis 17 ans pour entretenir le jardin, et perpétuer un riche passé de travail et de fortes relations. Beau film cinématographique sur le sens profond de l’entreprise humaine. »
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Poussés par une administration pleine de bonnes intentions, Latefa et ses deux enfants Walid et Ptissam francisent leurs prénoms en même temps qu’ils accèdent à la nationalité française. Ils affrontent cette épreuve singulière avec humour et légèreté, juste avant la rentrée des classes.
Le regard de Thierry Barrier, auteur-réalisateur :
« Voilà un court métrage au traitement hautement réjouissant qui allie avec adresse et humour l'aspect documentaire à la fiction autour d'un sujet d'actualité. Faut-il oui ou non franciser son nom pour mieux s’insérer dans la société quand on est d'origine étrangère ? … C'est la question que se pose cette mère de famille pour ses deux enfants juste avant la rentrée scolaire. Sujet très contemporain et sociétal traité avec beaucoup de justesse.
Un film frais, revigorant et plein d'allégresse qui ne se prend pas la tête et qui affronte une dure réalité avec recul, intelligence et malice. »
Attention, une déclaration auprès de la SACEM doit être faite pour toute projection du film (publique ou non publique).
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Un petit village perdu dans un désert de poussière, dans la brousse du Burkina. À quelques pas du village passe le train, deux fois par semaine. Les bouteilles d'eau et la nourriture que jettent les voyageurs en passant constituent le principal revenu du village, mais aussi l'unique ressource en eau pendant la saison sèche. Les portraits se multiplient ; les plus anciens ont connu l'esclavage au service de la France, les plus jeunes rêvent de lointains horizons.
En 2050, la médecine est remplacée par une machine : le Sherlock.
Sorte de super scanner qui non seulement diagnostique mais soigne également suivant les moyens du patient.
Le docteur n'est plus qu'un conseiller financier qui propose des assurances, des mutuelles et... des solutions plus ou moins radicales.
Attention, une déclaration auprès de la SACEM doit être faite pour toute projection du film (publique ou non publique).
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C’est l’histoire de quatre vies qui ont le même point commun, celui de vivre dans la précarité à Besançon. Une déchirure, quelque chose de brisé, une rupture familiale et sociale, une mauvaise fréquentation, un choix de vie, nos personnages sont tombés tout en bas et se confient sans détour avec pudeur sur leur parcours.
Guillaume, quarantenaire, érudit, une aisance dans l’expression, vient de trouver un appartement. Brian, 19 ans, bipolaire, survit depuis un an dehors. Son quotidien : trouver à manger et un endroit pour dormir. Loana, 23 ans, maman de deux jeunes enfants placés en famille d’accueil, aime la vie et chanter. Jacques, 69 ans, vit dans la précarité depuis treize années. Très aisé à l’époque, il a tout perdu ce qu’il avait…
Le regard de Gilbert Loreaux-Labrusse (membre du comité de sélection 2021), réalisateur-producteur et directeur du festival L’Ici et l’Ailleurs :
« Hymne à l'acceptation de la marginalité avec une note d'espoir. On sent par-dessus tout le besoin de reconnaissance qui nous relie tous, avec ou sans toit ! Belle image, beaux personnages, un film réussi et encourageant. »
Attention, une déclaration auprès de la SACEM doit être faite pour toute projection du film (publique ou non publique).
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Adrien, Carole, Gaëtan, Françoise, Franck et Pierre-Olivier évoluent au quotidien dans un monde adapté à leurs capacités, un milieu protégé. Depuis plusieurs années, ils participent à des ateliers de pratique artistique : écriture, musique, danse. C'est leur bouffée d'oxygène, le jardin secret où ils cherchent par les mots et par les gestes à exprimer un peu de ce qu'ils sont vraiment, au plus profond d'eux-mêmes. Leur désir d'imaginaire est si débordant que la fiction, prenant la forme d’une comédie musicale, surgit parfois au cœur même du réel… Puis, la vie ordinaire recommence là où on l'avait laissée. On se prend même à penser que l'on a peut-être tout rêvé... Car, chaque matin, Adrien, Carole, Gaëtan, Françoise, Franck et Pierre Olivier, adultes en situation de handicap, retournent travailler au sein de l’ESAT, l’Etablissement de Service d’Aide par le Travail de Joncy.
Le regard de Christine Peres, documentaliste, bibliothécaire au Musée de la vie Bourguignonne de Dijon :
« Le handicap (presque) comme s’il n’existait pas ! Des personnes en situation de handicap dans la peau de comédiens aux talents de danseurs. Un film plein d’humour et de simplicité ! »
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Borderline invite à une immersion musicale et poétique en Palestine. De Jérusalem à Ramallah, des collines de Cisjordanie à Gaza, différents quotidiens se dévoilent dans l’intimité de musiciennes et musiciens pratiquant rap, punk-rock, musique classique ou traditionnelle. Face à un enfermement parfois brutal, Ivan, Ranim, Taleen, Abu Sofiane et Sari expriment tous, par leur musique, un besoin inaliénable de liberté.
Le regard de Lucile Foujanet (membre du comité de sélection 2022), coordinatrice Exploitation cinéma de l’Association SCENI QUA NON :
« La musique comme moyen d'émancipation et de liberté. Découverte d'une jeunesse palestinienne qui vit au travers de la musique. Ce film est touchant pour la force que les jeunes puisent dans les arts et qui leur permet de garder espoir. Coup de coeur ! »
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C’est l’histoire de quatre vies qui ont le même point commun, celui de vivre dans la précarité à Besançon. Une déchirure, quelque chose de brisé, une rupture familiale et sociale, une mauvaise fréquentation, un choix de vie, nos personnages sont tombés tout en bas et se confient sans détour avec pudeur sur leur parcours.
Guillaume, quarantenaire, érudit, une aisance dans l’expression, vient de trouver un appartement. Brian, 19 ans, bipolaire, survit depuis un an dehors. Son quotidien : trouver à manger et un endroit pour dormir. Loana, 23 ans, maman de deux jeunes enfants placés en famille d’accueil, aime la vie et chanter. Jacques, 69 ans, vit dans la précarité depuis treize années. Très aisé à l’époque, il a tout perdu ce qu’il avait…
Le regard de Gilbert Loreaux-Labrusse (membre du comité de sélection 2021), réalisateur-producteur et directeur du festival L’Ici et l’Ailleurs :
« Hymne à l'acceptation de la marginalité avec une note d'espoir. On sent par-dessus tout le besoin de reconnaissance qui nous relie tous, avec ou sans toit ! Belle image, beaux personnages, un film réussi et encourageant. »
Attention, une déclaration auprès de la SACEM doit être faite pour toute projection du film (publique ou non publique).
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Adrien, Carole, Gaëtan, Françoise, Franck et Pierre-Olivier évoluent au quotidien dans un monde adapté à leurs capacités, un milieu protégé. Depuis plusieurs années, ils participent à des ateliers de pratique artistique : écriture, musique, danse. C'est leur bouffée d'oxygène, le jardin secret où ils cherchent par les mots et par les gestes à exprimer un peu de ce qu'ils sont vraiment, au plus profond d'eux-mêmes. Leur désir d'imaginaire est si débordant que la fiction, prenant la forme d’une comédie musicale, surgit parfois au cœur même du réel… Puis, la vie ordinaire recommence là où on l'avait laissée. On se prend même à penser que l'on a peut-être tout rêvé... Car, chaque matin, Adrien, Carole, Gaëtan, Françoise, Franck et Pierre Olivier, adultes en situation de handicap, retournent travailler au sein de l’ESAT, l’Etablissement de Service d’Aide par le Travail de Joncy.
Le regard de Christine Peres, documentaliste, bibliothécaire au Musée de la vie Bourguignonne de Dijon :
« Le handicap (presque) comme s’il n’existait pas ! Des personnes en situation de handicap dans la peau de comédiens aux talents de danseurs. Un film plein d’humour et de simplicité ! »
Attention, une déclaration auprès de la SACEM doit être faite pour toute projection du film (publique ou non publique).
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